Mais qui sont les plus mauvais élèves de la sécurité de l’impressions ? Comme vous aurez pu le deviner avec le titre de cet article, c’est bel et bien les Services Publics.
Les différentes entités publiques, de l’hôpital de petite ville au plus grand des ministères, sont en effet des cibles privilégiées des hackeurs ces dernières années. Pour preuve plus de 30 899 cyber-incidents dirigés contre des organes d’Etats ont été observés en 2016 en Europe.
Leur but ? Collecter des données confidentielles ou tout simplement empêcher la continuité de la gouvernance des États-nations.
En effet sur un score allant de 0 à 100 mesurant la sécurisation des parcs informatiques d’administrations de 9 pays européen, la France a obtenus un score de 10 points. Bien en deçà de la moyenne de plus de 19 points.
Le constat est encore plus alarmant quand on se penche sur les scores des écoles et hôpitaux. Respectivement 6,77 et 7,31 points.
Quelles sont les bad practices à éviter pour sécuriser votre parc d’impression ?
Dans le cadre des contrats publics la première faille de sécurité est présente dès la genèse du projet. En effet, une minorité d’entités publiques précisent des exigences de sécurité lors d’appels d’offres. Par exemple dans le secteur de l’éducation 67 % des appels ne citaient aucune exigence en matière de sécurité.
En intégrant dès l’AO la notion de sécurité, vous maximisez vos chances de protections, car les produits embarquant une solution de sécurité interne sont protégés dès leur installation contre les menaces, à l’instar des imprimantes professionnelles HP avec les fonctions Sure Start et Run Time Intrusion Detection.